Comme je vous en avais parlé ici, je me suis faite opérer de la myopie mercredi.

J'étais très myope (-6 et -6.50) et ne supportais plus les lentilles que je portais depuis 20 ans.

Donc mercredi matin, direction l'hôpital de Toulouse Purpan et, histoire de bien me stresser avant l'opération, il y a des bouchons sur la rocade. Une fois arrivée, juste "in time", je ne trouve pas ladite salle dans ce labyrinthe. J'y suis enfin, et là, la secrétaire m'annonce que j'en ai pour 1h30 d'attente. Je suis la dernière prévue au programme. Cooool ! Je vais pouvoir stresser !!!

Au fur et à mesure, je vois les opérés sortir, comme si de rien était. Ils ont l'air d'y voir, n'ont pas l'air ébloui par la lumière, leurs yeux ne pleurent pas... Rien de tout ce que j'avais pu lire sur le net. OUF ça me rassure un peu !

C'est mon tour

Je revêts la tenue stérile opératoire de rigueur. A 4 reprises, l'infirmière me met des gouttes anesthésiantes. Elle me barbouille le visage de bétadine, me colle un pansement sur l’œil qui sera opéré en deuxième et c'est parti !

Je m'allonge sur la table d'opération. Le chirurgien place un champ sur mon visage. Le laser descend. Je fixe un point vert. Et là, tout s'enchaine, on s'affaire derrière moi et on ne me dit rien. Je sais ce qui  se passe pour l'avoir lu sur des sites mais c'est tout. La pose des écarteurs, douloureuse d'après certains témoignages, est en fait juste désagréable. La pression de l'anneau de succion est assez forte en revanche. La découpe du capot a lieu puis le chirurgien soulève ce capot. Ça, c'est franchement impressionnant. Je suis aux premières loges pour voir ce capot passer d'un côté de mon œil à un autre. Le laser fait son boulot. Ça sent le cochon grillé. On inonde mon œil d'un liquide et rebelote, le capot est remis en place. Ensuite, on lisse mon œil. Longtemps, longtemps....

Allez, on passe au second œil et c'est fini.

Je vois comme si j'avais les yeux plein d'eau trouble mais je vois.Une petite  vérification pour voir si tout est ok, et je peux partir !

L'évolution au fil des heures

Le soir, le voile s'est dissipé. Je vois encore un peu flou cependant. Mon œil droit me démange, une sensation de grain de sable. J'ai les yeux secs.

A plusieurs reprises, je me dis qu'il est temps que j'enlève les lentilles, elles me font mal aux yeux. Ah zut, j'avais oublié, je n'en ai plus !

Une nuit de sommeil plus tard, je vois net. Je conduis même pour aller à la visite de contrôle. Le capot est bien en place. J'ai une kératite à l’œil droit, c'est pour ça que ça me gratte et des particules présentes dans l'air de la salle d'opération se sont collées sur mon œil pendant qu'il était ouvert. C'est sans conséquence et ne nécessite pas de ré intervention, elles sont hors de mon champ de vision. Ça n'arrive jamais, me dit le chirurgien ! Forcément, ça tombe sur moi...

48h plus tard, ça suit son cours. Ma vision va bien mais fluctue au fil des heures, ce qui est normal. J'ai toujours cette sensation d’œil sec, normal aussi.

Tout va bien, c'est juste trop cool de voir sans lunettes ni lentilles !!!

... bien que pas très présente ces derniers temps.

Je pense être absente encore quelques jours. Je me fais opérer de ma myopie mercredi et je risque d'être un peu "bigleuse" pour écrire un article juste après. Mais promis, je vous raconte l'opération, et tout et tout, très vite !

Bon week end !

28 mois que mon petit dernier fonctionne à l'économie. Il fait sans cesse appel à ses sœurs, qui répondent à ses moindres désirs avant même qu'il ne les formule !

Ce petit coquin trouve bien trop fatigant de marcher quand on part en promenade. Au bout de 10 pas ( et j'exagère à peine en disant ça !), il réclame les bras. Monsieur commence à se faire lourd (dans tous les sens du terme...)

Il adore faire des promenades à vélo. Son père a eu l'idée de lui acheter une draisienne. Si c'est un moyen de lui donner envie de nous suivre, pourquoi pas ?

Je me doutais bien qu'il n'aurait pas le sens de l'équilibre du premier coup. Je pensais quand même qu'il essaierait d'avancer avec les  pieds. Pensez-vous ? Même pas !!! Fainéant jusqu'au bout mon Petit Bonhomme. Il s'assoit sur la draisienne et appelle ses sœurs pour qu'elles le poussent.

Venons-en à la draisienne Motta Hoppop elle-même.

Elle est en bois de grande qualité et les pneus sont en caoutchouc pour une utilisation sur tous types de terrain.
Elle possède un amortisseur central, elle est plus flexible et donc très confortable.
Motta convient aux enfants de 3 à 5 ans et résiste à un poids de 20 kg.

Mon avis:

J'aime beaucoup la ligne très épurée, qui démarque de celle des draisiennes en métal que l'on voit habituellement. Elle est faite dans un matériau naturel, et ça, j'adore. Elle est légère et maniable.

Par contre, la selle n'est pas réglable en hauteur. Elle n'a pas de système de freinage.

Achetée sur vente privée, Monsieur Papa l'a prise dans le seul coloris disponible, c'est à dire un joli rouge rosé. Gros souci, les poignées sont fushias. J'ai coutume de dire qu'il n'y a pas de couleurs réservées aux filles et d'autres aux garçons mais là, c'est juste pas possible ! Elles ne sont même pas assorties à l'ensemble. Il va falloir que je les change très rapidement.

J'ai toujours à portée de main, ou dans mon sac, un carnet.

J'y note les futilités comme les choses importantes que je ne veux pas oublier.

Ma mémoire est encore assez fiable mais j'éprouve le besoin de garder une trace écrite des événements qui jalonnent ma vie. C'est un peu comme s'ils étaient là pour retenir le temps qui passe, pour éviter qu'une anecdote ne s'oublie, que tout reste inscrit à jamais dans ma vie.

Il y a le gros agenda memoniak dans lequel je planifie mes repas et note mes rendez-vous.

Me croyez-vous si je vous dis que malgré ça, il m'arrive fréquemment de me tromper d’heure ou de m'en souvenir au dernier moment ? et là, c'est l'affolement général ! Ni une ni deux, je prépare tout le monde en quatrième vitesse et en voituuuure !!!

Ce carnet ci m'est très cher. Je le tiens depuis la naissance de Auxence, c'est à dire depuis 28 mois déjà. J'y écris tous ses progrès, tous les événements marquant de son existence... Tout ce qu'on oublie trop vite et qui lui servira à connaître son histoire.

Il y a aussi le journal des rêves dans lequel je note chaque jour au réveil ce dont je me souviens de ma nuit. Je vous assure que ma vie onirique est très riche (rires) ! C'est d'ailleurs assez troublant de voir à quel point ils sont décousus. Je passe d'un lieu à un autre, d'une époque à une autre, les personnages changent d'apparence... et tout ça au cours d'un même songe !

Le Moleskine Mickey mouse edition, me sert à y coucher mes idées, mes envies, ce que j'ai fait... Il n'a pas de fonction particulière en fait. Il me suis partout.

Ce mini carnet Moleskine recense mes lectures, la liste des livres à lire et les belles phrases rencontrées au fil des pages.

Ce dernier carnet Mini Labo est destiné à la rédaction des articles du blog.

Vous voyez comme mon addiction à Moleskine est grave ? Je vous en avais déjà parlé ici d'ailleurs.

J'ai récemment découvert un petit accessoire de la même marque. Il comporte un petit stylo qui vient se fixer au carnet, histoire de ne plus avoir à chercher le crayon perdu au fond du sac.

Connaissez-vous ? Est ce que c'est pratique à l'utilisation ?

Impossible de se rendre en centre ville de Toulouse sans passer par la boutique Yankee Candle.

Trop contente et super excitée à l'idée d'enfin essayer les bougies dont tout le monde parle, j'entre dans la boutique et là, je suis aux anges! Il y a des tonnes de bougies aux senteurs différentes.

J'avais dans l'idée de tester les tartelettes, les plus concentrées en senteur, d'après ce que j'avais crû comprendre. En plus, elles sont peu chères (1€80), ce qui permet d'essayer différents parfums.

Mais, dans mon euphorie passagère, j'ai oublié un détail. Je suis enrhumée et ne sens rien. et les noms marqués sur les tartelettes ne sont pas des plus évocateurs.

Bon, tant pis, j'en prends 5 au pif, avec l'aide de mon marin, tout aussi enrhumé que moi.

Résultat des courses, honey glow que j'ai voulu faire fondre en premier sent très bon, très (trop) fort. Il suffit de la faire brûler peu de temps pour embaumer toute la maison, et pour longtemps.

Mon odorat n'étant pas des plus développés, je ne saurais décrire son odeur. Honey Glow est décrite par la marque américaine comme  « le rayonnement doux et captivant de ce parfum sucré qui crée une atmosphère paisible, chaleureuse et accueillante« .

Après plus d'une semaine d’utilisation, il reste toujours autant de cire. L'odeur est moins entêtante par contre.Je me dis: "c'est fou comme elles durent longtemps ces bougies !"  et finis par trouver ça bizarre... jusqu'à ce que j'apprenne que la cire ne se consume pas !

Ben voilà, je me disais aussi...

Reste à réussir à la démouler pour tester une autre tartelette, et ça je sens que ça ne va pas être de la tarte !